« Je crois que nous restons dans un
monde plus capitaliste que jamais.
La mondialisation que l'on peut critiquer et aménager est un processus irréversible.
La mondialisation que l'on peut critiquer et aménager est un processus irréversible.
On a beau se dire environnementaliste,
nos sociétés consuméristes et productivistes ont une soif
irréfrénable de pétrole.
On est tous un peu des écologistes du
dimanche. On sort notre bac de compostage, mais lorsqu'il s'agit de
faire de vrais sacrifices, ''ah bin là, on reste encore attaché à
notre culture de l'autoroute et de l'automobile''.
Alors de dire que le conflit étudiant
est le début d'un monde meilleur et d'un avenir radieux, on se
permettra de rester sceptique. »
Facal, Joseph. Que restera-t-il du Printemps Érable? Entrevue au Voir le
28-11-12. Télé-Québec